L’Alouette des champs

Auteur : Thierry Maniquet
Photo d'entête : Alouette des champs - Hélécine - Victor Claes
Article publié en 2010 dans le Bruant Wallon n°6

Nous attirons votre attention sur le fait que les informations contenues dans cet article ont 10 ans. La nature a bien sûr évolué durant cette période…

Annonciatrice du printemps, l’Alouette des champs s’élance dans le ciel, s’égosillant dès le début d’une belle journée de février-mars.
Mais vous êtes-vous déjà demandé pourquoi elle s’élève si haut, pour inévitablement redescendre à terre ?

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Cri d’alarme

Auteur : Thierry Maniquet
Photo d'entête : Envol de Mésange charbonnière - Vincent Rasson
Article publié en 2009 dans le Bruant Wallon n°2

Nous attirons votre attention sur le fait que les informations contenues dans cet article ont plus de 10 ans. La nature a bien sûr évolué durant cette période…

Qui d’entre nous, entendant le cri d’alarme d’un merle, n’a pas levé la tête, essayant de repérer l’épervier cherchant à surprendre par le dessus d’une haie ou d’un bosquet l’un ou l’autre petit passereau ?

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Le saviez-vous : La grive et le gui

Texte : Thierry Maniquet
Photo d'entête : Grive draine - Marc Fasol
Article publié en 2008 dans le Bruant Wallon n°1

Nous attirons votre attention sur le fait que les informations contenues dans cet article ont 13 ans. La nature a bien sûr évolué durant cette période…

Que la grive draine soit, avec la fauvette à tête noire, un des principaux responsables de la dispersion du gui, en raison de sa grande consommation des baies produites par cette plante hémiparasite, le fait est bien connu. On l’appelle d’ailleurs la « grive du gui ».

Les graines non digérées sont rejetées dans les fientes. Pour peu que cela se passe sur la branche d’un arbre, la graine a la possibilité de germer.

Malheureusement, au cours de l’histoire, la grive draine a aussi été victime de cette plante, dont les baies visqueuses , contenant une substance collante, étaient utilisées pour fabriquer la glu qui, disposée sur les branches par les tendeurs, servait à la capturer.

Ce fait n’avait pas échappé aux Romains qui avaient traduit cette tragédie par le proverbe suivant : « Malum sibi avem cacare », ce qui se traduit par « L’oiseau chie (sic !) son propre malheur ».

Le saviez-vous ?

Source :

G Lemoine, “Au gui, l’an neuf, La Garance Voyageuse”